Si un capitaliste se réjouit d'avoir augmenté largement son capital grâce à ses décisions d'investissement rationnelles et considère que ses abondants profits sont le signe qu'il est béni de Dieu, il est sacrilège. Cette pseudo « théologie de la prospérité » n'est pas compatible avec l'Évangile qui passe son temps à mettre en garde les riches.