Un jour nous avons eu une conversation par méls interposés avec Tim sur ce qu’était « une œuvre purement gay » comme il l’avait écrit dans un article d’Illico et il m’a cloué le bec en m’écrivant ceci : « Il y a de l’art gay, parce que les gays ont décidé que telles ou telles œuvres les représentaient (lecture rétinienne) ou les structuraient (lecture d’appropriation) ».