« John, ne fais pas ça s’il te plaît », l’implore-t-il. Cela ne suffit pas : Young met en ligne des centaines d’e-mails [internes de WikiLeaks] sur son propre site, en prenant malgré tout la peine de retirer la plupart des noms. Assange comprend alors que les attaques les plus redoutables ne viennent pas forcément de gouvernements ou de grandes entreprises. Il va falloir également se méfier de celles et ceux dont il s’estime proche.