La maladie, les blessures t’ont mis à genou plus d’une fois et paradoxalement c’est dans ces moments que tu étais grand. À chaque fois je t’ai vu défait, fragile, j’étais sans doute la seule à pouvoir dire que tu étais beau. Une fois remis, tu repartais mais laisse-moi te dire une chose : pour moi tu as toujours été et tu resteras toujours un homme blessé. C’est pour cela que je t’ai aimé et que je t’aimerai. L’homme d’airain m’indiffère.