« Moi qui m’étais si souvent moqué des poses romantiques, des écrivains qui se glorifiaient de recevoir des ordres de leurs personnages, de ces fables au sujet de l’inspiration .Moi qui avais tout au plus écrit phrase par phrase , encombré d’hésitations , de regrets , de calculs infinitésimaux , j’étais à présent entraîné par cette marée de violence vociférante et primitive, qui ne laissait ni temps ni espace aux doutes , qui s’exprimait à travers moi dans un accès de fureur bienvenu. »