En ressortant, j'aperçus la pièce voisine. Il y avait des lits superposés aux draps bigarrés, de grandes affiches aux murs, des étagères, des cartons de Légos et des caisses remplies de jouets. Comme un reflet de ma propre situation presque trente ans plus tôt, celle-là me rappela que rien n'est plus triste qu'un père divorcé qui a chez lui une chambre pleine de jouets, et personne pour y vivre plus de quelques rares fois dans le mois. Personne pour jouer et rire. Personne pour se plaindre et pleurer. ( p 159)