Une crainte des plus sérieuses : la crainte que notre corps, si le fossé qui le sépare de nos produits s’élargissait ou s’il restait seulement tel qu’il est, ne menace tous nos nouveaux projets (les projets que nous pouvons maintenant attendre de nos nouveaux instruments) et ne les fasse échouer l’un après l’autre. (p. 51)