Nationalité : Pays-Bas
Né(e) à : Haarlem , 1975
Né(e) à : Haarlem , 1975
Biographie :
Gustaaf Peek est un auteur, rédacteur et scénariste néerlandais.
Initialement, il s'est concentré sur l'écriture de poèmes. Ses poèmes sont parus dans les revues littéraires Lava, De Tweede Ronde, Tzum et Nymph.
En 2006, il a publié son premier roman, "Armin".
"Dover" a suivi en 2008. Le livre a été nominé pour le prix BNG.
Pour son roman "Ik was Amerika" (J'étais l'Amérique) paru en 2010, il a reçu le prix BNG Nieuwe Literatuurprijs (Prix de la nouvelle litttérature) et le prix F. Bordewijk.
En 2014, son livre "Godin, held" (Déesse, héros) a été le livre du mois sur DWDD ("De wereld draait door" - le monde tourne fou, programme télévisé d'actualités et de débats néerlandais). Le livre a figuré sur la liste des finalistes du prix littéraire Libris. Il a été traduit en allemand sous le titre "Göttin und Held".
De 2009 à 2015, Gustaaf Peek a été rédacteur du magazine littéraire "De Revisor".
Son scénario pour le long métrage néerlandais "Gluckauf" a été récompensé par un Gouden Kalf et un Zilveren kruistaart. Au Festival du film de Bruxelles, il a remporté le prix du meilleur scénario.
En 2017, son pamphlet "Verzet ! Pleidooi voor het communisme" (Résistance! Plaidoyer pour le communisme), a été publié. Ce manifeste a été traduit en anglais sous le titre "Resist! In Defence of Communism."
+ Voir plusGustaaf Peek est un auteur, rédacteur et scénariste néerlandais.
Initialement, il s'est concentré sur l'écriture de poèmes. Ses poèmes sont parus dans les revues littéraires Lava, De Tweede Ronde, Tzum et Nymph.
En 2006, il a publié son premier roman, "Armin".
"Dover" a suivi en 2008. Le livre a été nominé pour le prix BNG.
Pour son roman "Ik was Amerika" (J'étais l'Amérique) paru en 2010, il a reçu le prix BNG Nieuwe Literatuurprijs (Prix de la nouvelle litttérature) et le prix F. Bordewijk.
En 2014, son livre "Godin, held" (Déesse, héros) a été le livre du mois sur DWDD ("De wereld draait door" - le monde tourne fou, programme télévisé d'actualités et de débats néerlandais). Le livre a figuré sur la liste des finalistes du prix littéraire Libris. Il a été traduit en allemand sous le titre "Göttin und Held".
De 2009 à 2015, Gustaaf Peek a été rédacteur du magazine littéraire "De Revisor".
Son scénario pour le long métrage néerlandais "Gluckauf" a été récompensé par un Gouden Kalf et un Zilveren kruistaart. Au Festival du film de Bruxelles, il a remporté le prix du meilleur scénario.
En 2017, son pamphlet "Verzet ! Pleidooi voor het communisme" (Résistance! Plaidoyer pour le communisme), a été publié. Ce manifeste a été traduit en anglais sous le titre "Resist! In Defence of Communism."
Source : Em. Querido's Uitgeverij, Wikipedia
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Il était difficile de lécher son clitoris pendant longtemps, la plupart des coups humides ont atteint ses labiales, puis il l'a pénétrée brièvement avec sa langue à chaque fois. Il a mouillé un doigt, avec lequel il a caressé son anus. Le rituel de sa surprise, de ses gémissements, lui donnait la permission et il commençait de la lécher là, s'arrêtant de temps en temps pour enfoncer un doigt lentement et de manière punitive. Sa voix cassée et ses sanglots, la question répétée de ce qu'il lui faisait subir. Il a introduit deux doigts dans sa vulve, un dans son anus, et l'a baisée en attendant qu'elle se doigte elle-même.
Elle s'est détachée de lui un instant, s'est penchée vers le panier et a trouvé le tube, qu'elle a donné à Marius et peu après, elle a senti à nouveau ses doigts, refroidis par le lubrifiant, dans son cul et sa chatte. C'était mieux et elle a commencé à bouger sous l'impulsion de ses mains, son corps se resserrant et se réchauffant. Elle a mouillé le bout de ses doigts, elle ne voulait pas encore jouir, mais pendant un instant, elle a voulu se défier, tout sentir trop, pour ne pas hésiter un seul instant. Puis elle voulait être enfouie sous lui dans le lit.
Elle s'est détachée de lui un instant, s'est penchée vers le panier et a trouvé le tube, qu'elle a donné à Marius et peu après, elle a senti à nouveau ses doigts, refroidis par le lubrifiant, dans son cul et sa chatte. C'était mieux et elle a commencé à bouger sous l'impulsion de ses mains, son corps se resserrant et se réchauffant. Elle a mouillé le bout de ses doigts, elle ne voulait pas encore jouir, mais pendant un instant, elle a voulu se défier, tout sentir trop, pour ne pas hésiter un seul instant. Puis elle voulait être enfouie sous lui dans le lit.
Il s'est engagé dans l'allée et s'est dirigé vers la porte d'entrée. Il a sonné. Rien à craindre, si quelqu'un l'ouvrait, il n'y avait rien à craindre. Ils partageaient encore des professeurs, il avait préparé quelque chose à propos d'un cours manqué et de notes nécessaires, d'un test important. Il n'avait jamais rencontré sa mère, il ne serait jamais qu'un étranger pour sa fille à l'école. Le silence est resté et il a sonné à nouveau, plus longtemps maintenant. Il a regardé autour de lui, dimanche, personne dans la rue, il a fait le tour de la maison jusqu'à l'arrière-cour.
Une fois, il avait presque été à l'intérieur, mais Tessa avait finalement changé d'avis. Elle voulait qu'il reste quand même dehors, l'a embrassé longuement pour le rassurer. Il a trouvé la clé de la porte arrière sous un grand tesson à côté d'un pot de fleurs, la cachette dont il s'était souvenu depuis ce jour-là. Pour s'en assurer, il a frappé plusieurs fois à l'une des fenêtres de la véranda, mais il n'a vu personne apparaître. Il a ouvert la porte arrière, est entré.
Une fois, il avait presque été à l'intérieur, mais Tessa avait finalement changé d'avis. Elle voulait qu'il reste quand même dehors, l'a embrassé longuement pour le rassurer. Il a trouvé la clé de la porte arrière sous un grand tesson à côté d'un pot de fleurs, la cachette dont il s'était souvenu depuis ce jour-là. Pour s'en assurer, il a frappé plusieurs fois à l'une des fenêtres de la véranda, mais il n'a vu personne apparaître. Il a ouvert la porte arrière, est entré.
Tessa semblait déjà endormie, mais soudainement il l'a sentie bouger un instant et sa main droite a apparu au-dessus de la couette, ses doigts semblaient frotter quelque chose.
Je suis mouillée.
Je crains que tu devras attendre un peu plus longtemps, ma chérie. Le temps de l'enchaînement est révolu. Vieil homme. Donne-moi un peu plus de temps, ça ira dans une minute.
On ne peut plus faire l'amour. Je suis désolée. Je n'aurais pas dû le dire.
Que tu es mouillée ? Chérie, je veux entendre tout ce que tu penses et ressens. C'est n'est pas grave.
Maintenant, on peut encore, mais tout à l'heure on ne pourra plus, tu le sais, n'est-ce pas ?
Quoi ?
Chéri, chou, mon amour.
Je le sais.
Je suis mouillée.
Je crains que tu devras attendre un peu plus longtemps, ma chérie. Le temps de l'enchaînement est révolu. Vieil homme. Donne-moi un peu plus de temps, ça ira dans une minute.
On ne peut plus faire l'amour. Je suis désolée. Je n'aurais pas dû le dire.
Que tu es mouillée ? Chérie, je veux entendre tout ce que tu penses et ressens. C'est n'est pas grave.
Maintenant, on peut encore, mais tout à l'heure on ne pourra plus, tu le sais, n'est-ce pas ?
Quoi ?
Chéri, chou, mon amour.
Je le sais.
Quelqu'un est passé dans le couloir, une porte s'est ouverte et s'est refermée. Il n'a pas voulu faire de bruit et a chuchoté à l'image, il l'a traitée de pute, a dit qu'il allait lécher sa chatte à vif, juste avant de jouir, elle l'a supplié de la prendre dans le cul. Sa semence a atteint le matelas, mais elle était peu abondante et aqueuse. Il a glissé la photo dans le livre et s'est recouché dans son lit, il se changerait plus tard.
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