Le responsable de ce joyeux mélange était Spike Jones, un batteur décomplexé qui passait pour un massacreur de classiques -il s'évertuera sans vergogne à mutiler des pièces respectées de Liszt, Rossini ou encore Tchaïkovski- et faisait dérailler le train-train des recettes musicales. Franck le prit aussitôt pour modèle!