L’ennui naît d’abord de la crispation sur soi. Ce que les bouddhistes appellent la vacuité, ce n’est pas le néant. C’est l’ouverture et le miroitement infini des choses : une fleur, un oiseau, un nuage, une éclaircie, une larme, un sourire. Je m’efforce de cheminer dans cette vacuité. (p. 130)