Assis sur la rive de la Deisa dans l'obscurité de cette nuit d'été, ses mains puissantes juste posées sur les genoux, il vit les deux lunes disparaître et les feux s'éteindre un à un, et il pensa à sa femme, à ses enfants et à ce qu'il avait accompli de ses deux mains et qui lui survivrait. Le trialla chanta pour lui toute la nuit durant.