La Vie française était avant tout un journal d'argent, le patron étant un homme d'argent à qui la presse et la députation avaient servi servi de leviers. Se faisant de la bonhomie une arme, il avait toujours manœuvré sous un masque souriant de brave homme, mais il n'employait à ses besognes, quelles qu 'elles fussent, que des gens qu 'il avait tâtés, éprouvés, flairés, qu 'il sentait retors, audacieux et souples .