A la fin du mois, Wagner revient à Zurich. Le voici dans les dispositions intimes les plus favorables à la composition : des dettes pressantes, un compliqué projet de vente de ses opéras à l’éditeur Haertel, des agacements de toute sorte, sa maladie nerveuse et cinq années et demie d’accalmie créatrice suivies « d’une sorte de migration de son âme » au pays de la musique.