Ce n'est sans doute pas par hasard si cet irrésistible besoin d’être aimée a dévoré mon existence. je venais d'avoir la réponse à mes interrogations, le récompense à ma quête maladive. La forme à ce moment précis qu'avaient prise ces trois mots "je t'aime" m'avait réconciliée avec la névrose infantile qui me suivait depuis toujours. Ma mère m'aimait, je n’étais pas née pour rien. p 212