La police est une institution vorace. Elle exige la loyauté de la population et mobilise toujours plus de ressources, malgré l'absence d’effets manifestes sur les taux d'infraction ou la sécurité. Elle se plaint de son sous-financement et de la haine que lui vouent les gens, ou attribue ses échecs au manque de moyens de sorte à être mieux dotée en fonds. Ce cycle se répète sans arrêt.