Je savais maintenant ce que recouvrait ce que recouvrait toute cette beauté du monde extérieur. Très agréablement s'écoulaient les journées pour ses habitants, aussi agréablement que les journées que passent le bétail dans les champs. Comme le bétail, ils ne connaissaient aucun ennemi, ils ne se mettaient en peine d'aucune nécessité. Et leur fin était la même.