L’arrière du jardin avait dû être construit sur une colline naturelle et depuis ma position surélevée, j’avais une vue non seulement sur l’ensemble du jardin, mais aussi sur les toits environnants – les tours médiévales, les arcs gothiques, les élégantes coupoles et les hauts parapets qui constituaient les « flèches rêveuses » d’Oxford. La galerie était située en plein cœur de la ville universitaire historique.