Il n’est pas sûr que la relation qui s’établit alors, qu’elle soit passionnelle ou platonique, soit d’une quelconque utilité pour l’un ou pour l’autre. Toujours est-il que, de temps en temps, le monde en est bouleversé. C’est comme ce livre détestable, tiens, que m’a fait lire Meriem, où il est question d’une métamorphose : un homme se découvrant un beau matin transformé en insecte. Et alors ? Ceux qui n’y pigent rien n’y pigent rien, et les autres, eh, ils savent bien que le monde est absurde.