Plus j’accumulais de données, plus les contours des affaires devenaient nets, je me sentais comme changée. En un état dans lequel je n’étais plus surprise de découvrir tout ce que des humains pouvaient infliger à d’autres humains… En un état dans lequel quelque chose au fond de mon cœur s’était déjà brisé, où le sang qui passait par là ne jaillissait plus si vigoureusement.