C'est vrai qu'on s'y était attachées, à la vieille, surtout vers la fin où elle débloquait au point de nous chanter toute la journée, on ne savait pourquoi, Les Nuits d'une demoiselle de Colette Renard:
Je me fais sucer la friandise
Je me fais caresser le gardon
Je me fais empeser la chemise
Je me fais picorer le bonbon
Ce qui, à quatre-vingt-dix-huit ans, vous l'avouerez, ne manque pas de panache.