Voilà le supplice que je n’ai pas pu ressentir, parce que tu étais mon bourreau. Pourtant des milliers l’ont subi. Pourquoi citons-nous toujours le même, toujours le même ? Pourquoi pas tous ? Peut-être Dieu ne nous resterait-il pas toujours inaccessible si l’on avait le courage de les nommer tous à voix haute.