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Citations de Hans-Joachim Zillmer (6)


Il existe en science un filtre du savoir, qui élimine le matériel qui n’est pas bienvenu. Ce filtrage du savoir est pratiqué dès le XIXe siècle et dure encore aujourd’hui. Les découvertes qui contredisent l’opinion savante sont rejetées, sans examen sérieux du matériel découvert. Une fois que, dans l’establishement scientifique (Science Community), le bruit a circulé qu’un cas spécial n’était pas sérieux, cela suffit à la plupart des scientifiques pour ne plus s’occuper du matériel révoqué en doute. Un manteau de silence est étendu sur lui. Les nouveaux scientifiques en formation ne savent plus rien de l’existence des découvertes controversées ou même des trouvailles qui contredisent grossièrement la théorie dominante, et croient, sont même inébranlablement convaincus que l’entreprise scientifique universitaire leur a donné une formation vaste et omnisciente.
C’est pourquoi il faut que des descriptions plus précises de découvertes controversées soient maintenues présentes pour le temps de la révision scientifique nécessaire - quasiment le cas Galilée de la science - jusqu’à ce qu’une génération de chercheurs dépourvus de préjugés, critiques, deviennent adulte, et conforme les théories aux faits et non l’inverse.
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En d’autres termes, le prétendu premier stade de l’espèce humaine vivait en commun avec les hommes actuels (=modernes) il y a quelques milliers d’années. Ces hommes soi-disant « primitifs » étaient plus grands que les indigènes d’aujourd’hui, avaient une tête extrêmement volumineuse avec des caractères robustes et un corps doté d’os épais et de muscles vigoureux. Mais on n’a jamais publié les résultats exacts de la recherche. Les évolutionnistes ne voulaient pas accepter le fait que des hommes modernes, il y a encore 10000 ans au moins, vivaient avec une espèce « primitive » (homo erectus), dont les individus avaient exactement le même aspect que leurs ancêtres Homo erectus un million d’années auparavant.
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Il faut souligner encore une fois que l’on ne peut pas mesurer directement l’âge d’une roche, mais que l’on détermine seulement un nombre d’isotopes et que l’on calcule ainsi en se basant sur des rapports de désintégration actuelle ce qu’il se passait dans le passé de la Terre. Mais il manque à ces méthodes l’étalonnage sur des objets connus : la non présence de données sur la courbe d’étalonnage, la déviation standard et le bruit de fond sont remplacés par des hypothèses, par exemple qu’il ne se produit aucune volatilisation des isotopes filles ou qu’aucune modification n’est apparue par stockage. Il faut aussi tenir compte du fait qu’une transformation métamorphique ultérieure des roches ainsi que le nombre aussi bien que les rapports relatifs des isotopes sont influencés.
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Des étapes de développement évolutif lent chez l’homme ou l’animal conduiraient obligatoirement à la mort de cette espèce. Un développement de ce genre n’est pas possible, et c’est pourquoi, dans les témoignages fossiles aussi bien qu’aujourd’hui, on ne trouve que des mécanismes biologiques correctement « construits de bout en bout », parfaits depuis le début, comme procédant d’un « dessein intelligent », dans une adaptation parfaite à leur monde environnant particulier.
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Pour démasquer l'« endoctrinement évolutionniste des masses », nous ne présenterons pas dans ce livre des traités scientifiques impersonnels sur des thèmes tirés par les cheveux, rédigés en chinois savant. Au contraire, nous rassemblons une grande quantité de preuves concrètes, ainsi que des faits empiriques, venus du monde entier, qui démontrent que la théorie de l'évolution est une pseudoscience basée sur des hypothèses non démontrées, fondée grâce à des falsifications scientifiques. Les preuves empiriques qui seront présentées taillent des croupières à la théorie de l'évolution qui enveloppe notre société comme une sorte de brouillard diffus, pour briser ainsi la partialité intellectuelle.
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Il était une fois une image du monde, démontrée d'une manière scientifiquement exacte, qui était âgée de 200 ans. Il ne restait plus que peu de choses à explorer, et le savoir couvrait véritablement l'univers ...

Ce conte moderne est le résultat des théories de la mécanique céleste d'Isaac Newton et de la doctrine de l'évolution de Charles Darwin. Une harmonie universelle est censée avoir toujours dominé. Selon ces principes, tout, y compris notre Terre, s'est développé de façon progressive et uniforme. Par hasard, un acide aminé a abouti à un unicellulaire. Il ne s'est pas ensuite développé d'abord un bicellulaire, mais directement une forme de vie complexe, comme nous l'enseigne la théorie de l'évolution. Même si cela devait être exact, il se pose une question qui jusqu'à présent n'a pas été formulée : d'où est venue la deuxième cellule, après que la première se soit formée par un hasard incroyable ?

Y a-t-il eu simultanément plusieurs hasards incroyables, ou deux seulement, au début ? Dans ce cas, il doit y avoir eu n'importe quand, un jour, un bicellulaire.
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