Je n’ai songé qu’à ton repos, et j’ai dû oublier combien ont été courtes nos heures d’amour. J’ai dû oublier aussi qu’une femme adorée m’échappe dans la première émotion de notre existence fondue, et qu’ivre de toi, je me détourne de toi, vibrant, soudé de cœur et de chair, rêvant l’éternité de mon amour alors qu’il n’a plus de lendemain.