C’est à travers les mots de Sylvain Tesson que j’en ai vu la plus belle illustration, comme souvent d’ailleurs. Je l’écoutais au micro d’Isabelle Morizet sur Europe 1 : « Profondément et de façon définitive, vous ne voulez pas d’enfant ? — […] Je trouve qu’il y a parfois, dans cette espèce de réflexe à se propager, à se reproduire, quelque chose qui appartient, me semble-t-il – peut-être que je me trompe –, au contentement de soi-même. Pour aimer avoir des enfants, il faut d’abord beaucoup s’apprécier, et je n’en suis pas encore là. »