Dans mon cagibi, j'ai appris à reconnaître les silences de la maison.
Ceux de quand il n'y a personne.
Ceux de quand on veut être tranquille.
Ceux de quand on n'a rien à dire.
Ceux de quand on est fâché.
Et puis, celui-là. Le silence de quand on voudrait bien faire sortir sa fille d'un cagibi.