Nationalité : France
Né(e) à : Strasbourg , 1929
Mort(e) le : 28/04/2001
Né(e) à : Strasbourg , 1929
Mort(e) le : 28/04/2001
Biographie :
Hélène de Monaghan, née Émilie Hélène Loireau est un auteur français de roman policier.
Après des études de Droit, elle devient avocate et exerce d'abord à Casablanca. Elle s'installe à Paris en 1966.
En 1971, elle écrit un premier roman policier intitulé "Suite en noir". Elle en publie ensuite une dizaine dans la collection Le Masque et aux Éditions Denoël. De facture classique, ces ouvrages lorgnent tantôt vers le whodunit, tantôt vers le suspense ou encore le roman policier humoristique.
Elle a également signé quelques pièces de théâtre et une adaptation de son roman Esprit de suite pour la télévision.
Hélène de Monaghan, née Émilie Hélène Loireau est un auteur français de roman policier.
Après des études de Droit, elle devient avocate et exerce d'abord à Casablanca. Elle s'installe à Paris en 1966.
En 1971, elle écrit un premier roman policier intitulé "Suite en noir". Elle en publie ensuite une dizaine dans la collection Le Masque et aux Éditions Denoël. De facture classique, ces ouvrages lorgnent tantôt vers le whodunit, tantôt vers le suspense ou encore le roman policier humoristique.
Elle a également signé quelques pièces de théâtre et une adaptation de son roman Esprit de suite pour la télévision.
Source : Wikipedia
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Citations et extraits (4)
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- Je pensais te l'avoir dit mais tu n'en fais qu'à ta tête
- Je fais ce que je veux, alors si je n'ai pas envie de suivre tes conseils, c'est mon droit !
- Je fais ce que je veux, alors si je n'ai pas envie de suivre tes conseils, c'est mon droit !
Elle sauta à bas du lit et en quelques secondes, avec l'énergie et l'esprit de décision dont se devait faire preuve en toutes circonstances une ancienne de l'Armée de l'Air, Framboise fut sur pied de guerre et revêtue de son uniforme : un maillot de bain à fleurs qui emboitait sans pitié ses formes tubulaires.
D'un geste rapide elle entortilla sa maigre natte brune comme on embobine une pelote de ficelle et en fit un petit chignon-caillou qu'elle s'arrima sur le crâne par trois longues épingles.
D'un geste rapide elle entortilla sa maigre natte brune comme on embobine une pelote de ficelle et en fit un petit chignon-caillou qu'elle s'arrima sur le crâne par trois longues épingles.
Sous prétexte de rendement, de profit, les hommes au pluriel en étaient venus à oublier l'homme au singulier. Chaque jour, une nouvelle conquête technique le mutilait.
Et non seulement lui, mais la nature toute entière devait subir les assauts d'un prétendu progrès qui mettait en péril tous les êtres vivants.
Et non seulement lui, mais la nature toute entière devait subir les assauts d'un prétendu progrès qui mettait en péril tous les êtres vivants.
Dans la société actuelle, l'homme n'était plus qu'un pion sans âmes, auquel on déniait aussi bien le coeur que la sensibilité. Un instrument de production entre les mains des puissances d'argent, malmené, broyé au gré des intérêts d'un petit nombre, sans souci de son bonheur ni même simplement de sa dignité.
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