Et puis, pour la cambriole, on avait nos principes: on choisissait nos cibles. Jamais on aurait tapé quelqu'un dans le besoin. [...] Les gens diront qu'on faisait ça pour se donner bonne conscience, et qu'au final, voler c'est voler, et c'est sans doute vrai par ailleurs, n'empêche que nous on a jamais volé un pauvre et que l'Etat peut pas en dire autant.