Citation de collectifpolar
Le soir, en hiver, ce coin de Brooklyn était particulièrement mal éclairé ; beaucoup d’arbres, pas assez de réverbères. Mais quand il vit cette silhouette au long manteau de laine traverser la rue d’un pas preste, Sam Loomis fut certain qu’il s’agissait enfin du Dr Draken.
L’agent fédéral était abrité derrière les volets ajourés d’une fenêtre, au quatrième étage d’un immeuble de New York Avenue. En face, dans sa ligne de mire, il pouvait observer à travers les persiennes le vieil appartement de Paul Clay dans lequel Arthur Draken se cachait depuis la mort d’Emily Scott. Truffé de micros, le studio allait peut-être bientôt leur livrer de précieuses informations sur ce que le psychiatre savait et faisait.
Dans la rue en contrebas, la silhouette disparut rapidement derrière la porte d’entrée de l’immeuble.
L’agent fédéral était abrité derrière les volets ajourés d’une fenêtre, au quatrième étage d’un immeuble de New York Avenue. En face, dans sa ligne de mire, il pouvait observer à travers les persiennes le vieil appartement de Paul Clay dans lequel Arthur Draken se cachait depuis la mort d’Emily Scott. Truffé de micros, le studio allait peut-être bientôt leur livrer de précieuses informations sur ce que le psychiatre savait et faisait.
Dans la rue en contrebas, la silhouette disparut rapidement derrière la porte d’entrée de l’immeuble.
