Ma maladie aura toujours eu l’avantage qu’on me laisse m’occuper comme je l’entends, ce qui est un grand point dans ma vie. Je ne vois pas qu’il y ait au monde de préférable pour moi à une bonne chambre bien chauffée, avec les livres qu’on aime et tout le loisir désiré. Quant à ma santé, elle est en somme meilleure, mais la guérison est si lente à venir dans ces diables de maladies nerveuses qu’elle est presque imperceptible.
Lettre de janvier 1845 à Emmanuel Vasse-de-Saint-Ouen