Maintenant, il embrasse d'un regard d'aigle le terrain où il va chasser. Il dresse un premier plan de dix romans se déboîtant l'un de l'autre et portant la triple étiquette du matérialisme, de la physiologie, de l'hérédité, tout cela évoqué sous le règne de Napoléon III. Ce règne, Zola l'exècre pour ses génuflexions devant l'argent, son clinquant, ses préjugés bourgeois, son hypocrisie, sa bigoterie, son intolérance. En situant son œuvre à cette époque qu'il abhorre, il en dénoncera les vices et la stupidité.