Clairembart s’était aussitôt assigné deux buts : apprendre les rudiments du langage yéti et gagner définitivement les bonnes grâces de leurs hôtes. Le premier de ces buts fut aisément atteint par le moyen classique consistant à désigner un objet à Jéroboam tout en lui donnant son nom français. À son tour, le Yéti nommait l’objet dans son propre langage et, ainsi, tout un vocabulaire français-yéti s’élaborait.