L’ordre des choses devrait plutôt être inversé : le dimanche devrait être le jour du labeur de l’homme, pour ainsi gagner sa vie à la sueur de son front; et les six autres jours consisteraient en le repos des sentiments et de l’âme, pour parcourir ce vaste jardin, et boire aux doux effluves et aux sublimes révélations de la Nature. (33)