L’individu moyen n’est guère disposé à renoncer à ses habitudes alimentaires. Il ne se rend pas compte que presque toutes les mauvaises habitudes sont prises par désir de stimulation. Cela veut dire que le corps réclame automatiquement ce qui peut lui procurer un soulagement momentané, masquant ainsi, pour un court laps de temps, les symptômes de la fatigue ou de la dépression.