C’était une enfant bien portante et robuste, sans la moindre trace de la beauté de sa mère. On ne peut pas dire qu’elle était laide ; elle était simplement quelconque, terne et douce. L’éloge le plus poussé qu’on ait jamais fait d’elle était qu’elle avait une « gentille » figure ; et, toute héritière qu’elle fût, personne ne s’était jamais avisé de la mettre sur la liste des jeunes filles à courtiser.