L'économie d'abondance a forgé à l'homme une seconde nature qui le lie à la forme marchande sur un mode libidinal et agressif. Le besoin de posséder, de consommer, de manipuler, de renouveler constamment tous les gadgets, appareils, engins, machines de toutes sortes qui sont offert, et même imposés, aux individus [...] est devenu [...] un besoin "biologique".