L’apparence d’un calme profond qui précède l’orage, est peut-être plus terrible que l’orage lui-même, car en vérité ce calme n’est que la chrysalide qui enrobe la tempête ; comme le fusil contient en lui, la poudre fatale, la balle et l’explosion, de même, l’aimable repos de la ligne, tandis qu’elle serpente entre les canotiers, est détenteur d’une terreur plus grande que quoi que ce soit d’autre dans cette périlleuse entreprise.