Walter Kompff
A vrai dire, la secrète nostalgie, inconsciente de sa vraie nature, qui l’entraînait vers la liberté d’une vie lumineuse, basée sur ses propres principes et trouvant sa satisfaction en elle-même, cette nostalgie ne s’éteignît jamais en lui, elle se calma seulement et ressembla beaucoup à cette légère souffrance que ressent tout homme véritablement doué, lorsqu’à la fin de ses années de jeunesse il se résigne à l’insuffisance de la vie. (Page 132)