Cette vipère, ma vipère, dument étranglée, mais partout renaissante, je la brandis encore et je la brandirais toujours, quel que soit le nom qu'il te plaise de lui donner : haine, politique du pire, désespoir ou gout du malheur ! Cette vipère, ta vipère, je la brandis, je la secoue, je m'avance dans la vie avec ce trophée, effarouchant mon public, faisant le vide autour de moi. Merci, ma mère ! Je suis celui qui marche, une vipère au poing .