Nous sommes tous, plus au moins, animés par la quête de l’absolu, de la vérité, de l’éveil, de l’illumination, de la compréhension ultime, etc.
Pour s’apercevoir, au bout du compte (si l’on y arrive), qu’il n’y a rien. « Fondamentalement rien », comme disait le maître ch’an chinois Feng-kan (IXe s.)