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Critiques de Hideo Shinanogawa (14)
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Virtus, tome 1

Commode, c'est le fameux empereur romain que l'on voit dans le film de Ridley Scott à savoir Gladiator. Il est le symbole même de la décadence de la Rome antique. Il n'hésitait pas à abrutir les masses par des spectacles en grandeur nature dans l'arène du Colisée. (Bon, c'est encore un procédé comme moyen de diversion qu'on utilise de nos jours au travers sans doute de la TV réalité). Une de ses concubines va s'opposer à lui en recourant à la magie et en allant chercher des japonais dans une prison de nos jours pour le mettre face à lui.



C'est clair qu'un tel scénario est franchement tiré par les cheveux. Le but est de montrer des techniques de combat. Fallait-il vraiment en passer par là ? Il n'y avait aucun autre moyen que de recourir au fantastique ? C'est dommage car je m'attendais à une bd sur les gladiateurs de façon sérieuse et documenté.



Pourtant, ce manga est assez bien construit. On ne loupe pas une miette d'image. L'action est rythmé. Les dessins sont corrects avec des décors assez détaillés. Le divertissement est assuré pour peu qu'on ne craint pas l'extrême violence des combats. C'est d'ailleurs parfois à la limite du soutenable. C''est sombre et musclé à la fois.



Par ailleurs, la série ne compte que 5 volumes ce qui évite la série à rallonge. Pour autant, la conclusion ne m'a pas du tout semblé satisfaisante: est-ce seulement la fin d'un cycle ? Bref, Virtus cumule les hauts et les bas. Cependant, je retiens surtout le fait que le suspense est savamment dosé et qu'on passe un bon moment de lecture.
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Virtus, tome 1

Découverte surprenante d'un univers inconnu pour moi. Le parallèle occident / orient est fabuleux. Pour ados et adultes, de l'Histoire, des intrigues, une immersion dans les arts martiaux et surtout des valeurs presque perdues aujourd'hui. Les dessins ont tendance à une accélération de lecture.
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Randonneuse - Gueuleton en montagne ! - Tom..

Très clairement, c'est un manga qui réussit à donner faim. Et pourrait presque donner envie de randonner seul.e. Mais au-delà de ça, il n'y a pas grand intérêt. L'héroïne semble avoir pour but principal de grimper des montagnes pour dépenser toutes les calories qu'elle ingurgite en se faisant des petits "gueuletons". Et vu le matériel qu'elle emmène et le poids sur le dos...

Donc le scénario est assez indigent, mais les dessins sont très expressifs. Donc quand on recherche des idées de cuisine, ça peut servir !
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Virtus, tome 4

Dans la fin du volume précédent, on abandonnait Aizawa dans une fâcheuse position, Kurukis se déchaînait contre celui-ci et était bien motivé à le tuer. Cependant par une astuce, l'asiatique arrive à se dégager mais il ne s'en sortira pas sans séquelles. Ce chapitre est un tournant décisif dans la vie de nos jeunes recrues. Il donne un coup de fouet au troupe et revigore les personnages, on met en effet en avant que c'est la douleur qui attend les faibles et qu'il faut donc se durcir.



Ce volume-là accélère la cadence et nous éclaire sur plusieurs points. Il y a d'abord le fait qu'on s'éloigne du quotidien de notre groupe, on retourne à la vie civilisée romaine et on suit les intrigues de la cour de l'empereur. En effet, on suit peu à peu les rebelles qui ont pour but de se débarasser de ce tyran qu'est Commode, les pions se mettent en place. On fait ainsi la connaissance de multiples nouveaux personnages, attachants ou horribles, tous ont un rôle à jouer dans la chute de l'empereur.



Il permet également d'en apprendre un peu plus sur le père de Naruyama, le petit flashback dans le passé nous fait comprendre plusieurs choses ce qui n'est pas plus mal car cela aurait alourdi le dernier volume si on en avait trop eu dedans.



On profite également de ce volume pour faire un petit saut dans le temps, la fin nous paraît prometteuse et on espère que le final sera à la hauteur de nos attentes.



Dans ce volume, l'ensemble est plutôt bien géré, même si certaines situations nous paraissent trop rapides, mais on fait avec car il était nécessaire d'avancer dans l'histoire car on arrive à la fin de la série. On espère ainsi que le dernier volume nous rapportera les questions auxquelles on se pose encore et en tout cas au moins une conclusion satisfaisante de la série.
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Virtus, tome 3

Nous nous en étions arrêtés à un passage assez critique pour Narumiya et ses compagnons, oui on a le droit de ruser, mais vaut mieux éviter cela contre des éleveurs de gladiateurs.



Après une humiliation de Dame Aquila, nos jeunes sont dans une mauvaise passe, surtout lorsque le blondinet un peu louche décide de rentrer en scène. Il nous fait part de son art et les auteurs nous apportent ici même quelques points historiques de ce sport qu'est la lutte. Le combat qu'il soulève contre Narumiya est très vif, mais étrangement certaines postures me font rire, les dessins font ressortir les corps d'une telle manière qu'ils nous semblent quand même bien huilés.



Dans ce volume on nous montre différente facette du monde romain, l'esprit pédéraste naturel de certains et le fait que cela existe, mais le plus important : l'essence même de ce qu'est un gladiateur.



Dans tous les cas, après la pré-sélection l'entraînement débute vraiment et ce ne sera pas une partie de plaisir. Beaucoup de personnages sont mis en avant, on découvre quelques brides du passé de certains et leur manière d'évoluer ainsi que de se repentir de leurs pêchés.



Trois personnages se démarqueront principalement, Kurukis un gladiateur nerveux et violent qui prendra à mal Kamio et Aizawa.

Kamio lui évolue d'une drôle de façon ce qui est vraiment intéressant car ce n'est habituellement pas le genre de chemin que suivent les personnages. Psychologiquement c'est sympa d'observer qu'il est humain et pas si gentil que cela.



Aizawa est celui qui explose le plus dans ce volume, mais de manière assez différente de ce que l'on aurait pu songer par rapport au volume précédent, et là encore, je dois avouer avoir été un peu surprise, non, on ne tombe pas tant que ça dans la facilité.



Les violences sont encore là autant psychologique que physique, encore plus même car il n'y a aucune pitié, la fin du volume est au bord du gouffre et nous en fait voir aussi, comment les personnages vont-ils se sortir de cette impasse ? Une fin de volume trépignante qui là relève fortement l'intérêt du manga même si les dessins ne sont toujours pas à mon goût, mais dans l'ensemble cela passe quand même.



Cependant, je reste encore assez septique dans la globalité, sachant que nous avons maintenant passé la moitié de la série, je suis curieuse de voir le déroulement de la suite car cela va être très rapide ou bien nous aurons le droit à de belles ellipses temporelles.
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Virtus, tome 1

On commence ici ce premier volume avec une femme nue accrochée à un poteau, des cadavres déchiquetés l'entourant, la peur et les os saillants criant sous sa peau et sur son visage, le tout dans une arène frétillante et des lions prêts à la grignoter. Oui, oui, je sais, tout cela est très joyeux et c'est comme ça que ce seinen sanglant débute. L'introduction est lancée, on sait ce qu'on achète, on voit globalement le coup de crayons et on sent tout de même l'enjeu du livre. De ce fait, on repose ou non.



Dans les premières pages, on nous présente les personnages principaux du monde antique que l'on va découvrir, les personnages qui sont la sources de ce manga.



D'abord, l'empereur Commode, un plutôt bel homme, fort et cruel. La violence est pour lui de mise, elle est une partie intégrante de lui-même, il est la violence, il aime le sang, le spectacle, la puissance. C'est par lui que tout commence et que tout termine, il est le César, la puissance, celui que l'on craint et dont on n'entrave pas la route. Son corps tout entier transpire le sang. Mais plus que tout cela, on ressent dans ce personnage sa jouissance quant à la rébellion de sa favorite, Marcia.



Marcia est une belle jeune femme, concubine, plus de force que de grès, qui cherche à détrôner cet empereur, qui cherche à restaurer l'allure et la puissance de Rome, qui veut voir son peuple redevenir ce qu'il était, sa splendeur et son intelligence. Elle a la hargne, elle est remplie de haine et c'est cela qui excite son bourreau. C'est à cause de cela et de son dernier échec, qu'elle cherchera l'homme ayant le "virtus", homme qu'elle cherchera dans le futur et des contrées lointaines.



La présentation des deux joueurs d'échecs est là, elle introduit le manga et on sait à quoi s'attendre globalement, une guerre et une lutte de pouvoir effréné qui se trouvent principalement dans l'arène.



Les gladiateurs que nous suivront nous sont une bande de prisonniers japonais de notre ère, le fantastique touche ici le manga sans vraiment que l'on comprenne le pourquoi du comment, mais on ne s'y attarde pas vraiment, bien que des soubresauts d'avertissements sont semés.



On suivra principalement dans ce premier volume trois japonais. Le premier est un faible, un gamin qui est là en prison pour une faute dont il n'a pas les épaules pour en prendre la responsabilité, il est ce personnage fébrile que les bons protègeront et que les mauvais maltraiteront. Il est inutile mais dangereux pour la survie des autres, il est touchant mais on a envie qu'il meurt car ça lui abrègerait ses souffrances, il me fait penser à un chiot malade et abandonné qu'on ne peut pas protéger entièrement et dont on s'occupe par pitié.



Le second est donc notre héros, l'homme possédant le Virtus, un homme sans trop d'expression mais ayant des principes de droitures. Champion du mon de judo, le jeune homme possède des principes tel qu'il faut protéger le plus faible. Le personnage est assez stéréotypé dans le genre, mais semble avoir une profonde cicatrice, et possède des secrets que nous avons à explorer.



Le troisième, le blondinet qui en sait beaucoup plus qu'il nous en dit, il connait des choses, sait le passer du judoka, ce personnage est fourbe et ça se voit.



L'histoire en elle-même est, je pense, une excuse pour la violence, mais globalement, c'est ce que je cherchais, c'est des gladiateurs donc ils ne jouent pas dans la cour des petits, ils se battent pour une chose : leur survis personnel. Mais malgré cela, on nous donne des filons, des questionnements naissent, sans pour autant nous donner envie de fondre sur la suite, ça nous titillent tout de même un peu. On regrettera cependant des scènes stéréotypés à mort, et cette impressions, pour ma part, de "shonen". Les explications de combats, dire à quel point le judo est un sport génial (j'avoue je caricature là), mais c'est limite blasant parfois, mais bon.



Le plus gros point faible de cette série est son dessin, on peut avoir des planches plutôt seines, mais la plupart ne sont pas très sympa. Il y a beaucoup de problème dans les proportions (ce qui est dommage pour un manga qui se veut un peu réaliste). Des visages avec des expressions plates. On y observe tout de même un certain dynamisme, chose qui le rattrapera sur certains points.



Globalement, le manga-là est assez voir trop, classique et banal, mais il m'a quand même accroché sur certains points (oui je suis en manque de violence pur et dur). Puis la série est assez courte car elle possède 5 tomes, il faut espérer une évolution correcte pour la suite. Comment donc arriver à renverser un empereur en 5 volumes ? Telle est la question. D'autres questions se posent comme comment la compréhension entre les personnages va se faire, que cachent-ils tous ? Leurs secrets et petits démons nous rendent curieux. En tout cas je lirai surement la suite, car personnellement, ma curiosité a été attisée.
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Virtus, tome 2

Dans ce deuxième tome de Virtus : Le sang des gladiateurs, une grande partie des prisonniers japonais ont survécu au massacre du Colisée, et sont conduits en bateau vers leur nouvelle destination sur ordre de l’empereur : un centre destiné à faire d’eux des guerriers impitoyables.



J’ai légèrement préféré ce tome au premier, car il s’attarde plus sur les personnages après leur incursion sanglante et brutale dans la Rome antique, mais globalement, les mêmes défauts sont toujours là.



Les dessins sont encore plus crus, encore plus violents, et le réalisme des anatomies demeure discutable, quoique les femmes s’en sortent mieux à cet égard. Et surtout, on a cette fois non plus un, mais deux commentateurs sportifs. Si, si, vraiment.



Les personnages doivent s’affronter à tour de rôle pour leur survie, ce qui tient toujours du prétexte pout mettre en avant de nouvelles disciplines de combat. Il y a en effet, au sein du groupe, un pratiquant de kendo ou aïkido, je ne sais plus, un ancien sumo, un maître de ballet… Autant d’incohérences avec le tome 1 où, à l’exception du judoka, tous s’apparentaient à une belle bande de bras cassés incapables de se défendre.



Quant à la dimension historique, elle reste négligeable. Certes, le but est de renverser l’empereur et de rendre à Rome sa gloire d’antan, mais ils pourraient tout aussi bien se trouver dans le Japon féodal ou au Capitole pour préparer les prochains Hunger Games que ça ne changerait pas grand-chose à l’intrigue, où sang, mort et violence ne font que se succéder en boucle.



Le cliffhanger final m’inspire tout de même un brin de curiosité pour la suite, mais je ne pense pas que je la lirai, parce qu’à l’exception de cet ultime suspens, ce manga m’a plutôt ennuyé, en plus d’être particulièrement malaisant.
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Virtus, tome 1

Virtus : Le sang des gladiateurs est un manga seinen qui nous transporte dans le Colisée de la Rome antique, sous l’œil sanguinaire de l’empereur Commode. Marcia, sa concubine, est décidée à rendre à l’empire romain sa gloire d’antan, mais a besoin pour cela d’un homme possédant la Virtus, homme qu’elle découvre grâce à ses pouvoirs de sibylle dans une prison japonaise du XXIème siècle.



Je termine ce premier tome assez déçue. L’Histoire semble pour le moment un prétexte à l’histoire que le mangaka veut raconter. Le reste n’est que combats, combats et encore combats, et même pas des combats de gladiateurs, non ! C’est un champion du monde de judo qui affronte un plus ou moins boxeur.



Parce que oui, après un véritable carnage, seuls deux personnages se font face, pendant que les autres se posent en arrière plan et se lancent dans une carrière de commentateurs sportifs. Si vous aimez le judo, vous allez être servis, parce que le manga encense cette discipline, mais pour l’aspect historique… Eh bien, j’espère qu’il sera mieux exploité dans les tomes suivants.



Quant à l’histoire avec un petit h, je ne suis pas plus convaincue pour le moment. Marcia, la sibylle, se met en quête de l’homme qui pourra renverser Commode et rendre sa « virtus » à Rome, mais elle téléporte plusieurs dizaines de prisonniers en même temps que lui en plein milieu du Colisée, sans leur expliquer pourquoi, sans leur expliquer comment, et s’ensuit une débandade logique due à leur incompréhension. Ça l’aurait tuée de ne pas les jeter littéralement dans l’arène ? Et surtout, pourquoi les avoir TOUS emmenés ?



Les dessins non plus ne m’ont pas séduite. Ils sont très crus, très violents, et les personnages… Disons que certains d’entre eux sont si peu réalistes qu’ils feraient passer des culturistes pour des gringalets. Même Arnold Schwarzenegger au sommet de son art et de sa forme n’avait pas une telle morphologie.



J’ai le deuxième tome dans ma PAL, je verrai ce que ça donne, et surtout si l’Histoire prend une place plus importante, mais si le manga continue ainsi, je ne poursuivrai pas cette lecture.
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Virtus, tome 2

On quittait notre groupe de prisonniers japonais au milieu de l'arène contre les Germains. On débute ce second volume avec les souvenirs du chef de ceux-ci, on y découvre la douleur de sa capture, les éléments qui le poussent à se battre pour survivre avec ses compagnons (m'enfin à survivre tout court aussi je pense). Il a la haine et ne veut pas voir sa vie se stopper ici.



Dans la continuité du combat, le héros suit ses préceptes mais quand la survit prend le déçu ça fait des dégâts.



Ce second volume nous permet aussi une introduction dans les entrainements et les sélections. On découvre aussi ici de nouveaux personnages au niveau des japonais, ce que je trouve un peu "bidon" car il y a des bonshommes qui se démarquent pas mal qu'on n'a pas vu du tout dans l'arène, j'ai un peu eu l'impression qu'ils sortaient de nul part, juste pour rajouter des visages différents. J'ai trouvé ça un peu dommage, car il y avait matière à en introduire certains dès le premier volume, mais bon.



La violence est toujours là dans ce volume, on découvre de nouveaux personnages romains aussi, des femmes (oui avec toute cette testostérone), du découpage de personnes en toute facilité (oui oui, ils ont des armes très coupantes ! ). J'ai l'air ironique comme ça, et je le suis un peu, car la lecture se suit mais n'amène pas à des passions. Je m'interroge toujours sur certaines questions, sur certains personnages et le dénouement, mais mais, voila, sans plus. Cela évolue assez lentement dans ce tome-ci, je me demandais si les évènements allaient accélérer, eh bien non, on nous développe juste plus de fourberies, l'usage important de son intelligence et de sa fougue.



Bref, on n'avance pas beaucoup dans l'intrigue ici ce qui est dommage car il perd un peu de son dynamisme.



Globalement je ne le trouve pas nul, mais moins intéressant, on patauge un peu alors que le but est de détrôner le mec le plus puissant de l'empire Romain, c'est à se poser des questions. Je lirai sans doute la suite mais pas tout de suite, j'espère vraiment que la suite relèvera le niveau. La fin du volume est d'ailleurs assez prévisible, mais c'est quelque chose d'assez utiliser et qui fonctionne à chaque fois, car ça donne un peu envie de lire la suite. !!
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Virtus, tome 5

Un cinquième et dernier opus qui met un terme à cette fresque romaine. Un album à l’intérêt en dent de scie qui aboutit sur une frustration.
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Virtus, tome 4

Un quatrième volume qui sort des sentiers battus et offre désormais une réelle intrigue tant attendue !
Lien : http://www.actuabd.com/Virtu..
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Virtus, tome 2

Si Virtus se lit assez bien, le titre est néanmoins à réserver aux amateurs de combats, de coups secrets, de gros muscles et de testostérone.
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Virtus, tome 1

Le trait est précis, offrant un détail minutieux, les personnages sont remplis d’émotions : leurs faciès expriment la peur, la joie, la souffrance. Outre les combats, il résulte également du récit un suspense, une intrigue, certains personnages deviennent vite attachants par leur complexité et leur secrets.
Lien : http://www.actuabd.com/Virtu..
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Virtus, tome 1

Rien de bien convaincant dans ces deux premiers tomes. Un dessin faiblard, un scénario des plus minces. La série bénéficie du toujours très bon travail de Ki-Oon, mais c’est à peu près tout ce qu’elle peut offrir d’intéressant.
Lien : http://bulles-et-onomatopees..
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