Et toi, ma chère épouse, si tu étais encore vivante, comment considérerais-tu mon action ? Pour résister à la censure, j'ai militarisé notre organisation, j'ai fait couler le sang. Aurais-tu été d'accord avec cela ? Là où tu es, tu ne peux me répondre, je le sais bien... Tes mots de réconfort ne me parviennent pas. Je puis seulement croire que tu me les aurais adressés.
Et dire que mes ennemis osent invoquer ta mémoire ! Ils répètent que tu m'aurais désapprouvé. Qu'en savent-ils ?