Soudain, Shibasaki empoigna la main de l'acteur.
"Je vous admire depuis que j'ai vu "J'ai le blues !" Je suis extrêmement impressionnée de vous rencontrer."
Dans un coin de la pièce, le manager surveillait sa montre ; le temps de son poulain était compté.
"Merci", fit Kosaka, habitué aux effusions.
"Elle nous fait tout un cinoche", chuchota Iku a l'oreille de Tezuka, en observant de loin son amie.
"On ne dirait pas qu'elle convoite un autographe juste pour le revendre", acquiesça Tezuka.