Les circonstances. Si on pouvait ainsi régler la question, comme ce serait simple ! Mais même si on avait fait des choses plus ou moins douteuses, si on n’avait mis personne dans l’embarras, si personne ne le savait, était-il nécessaire de se poser des questions, fallait-il se tourmenter ?
Mais je me demandais si on ne trouvait pas une sorte de jouissance à se tourmenter. Exactement comme quand on arrache plusieurs fois la croûte d’une égratignure qui commençait à se former, et qu’on prend plaisir à faire durer le mal…