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Critiques de Hisashi Eguchi (8)
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Stop!! Hibari-kun, tome 1

Coup de cœur inattendu pour ce titre dont je connaissais l'aura depuis longtemps, mais que je n'avais jamais eu entre les mains. Malgré mes doutes (qu'il soit daté, qu'il ait mal vieilli, qu'il ne s'agisse que d'un "simple" shonen ou shojo etc), j'ai pris une petite claque et surtout, beaucoup de plaisir !

Graphiquement, le style est certes typique des années 80, mais il a très bien vieilli et n'est pas du tout caricatural. Le tout est fluide et dynamique, l'action s'enchaîne très bien et on arrive bien trop vite à la fin de ce premier tome. Vivement la suite :)

Quant à l'intrigue, on est dans un entre-deux entre shonen, shojo et parodie des deux genres. Et ça fonctionne à merveille. C'est là toute la réussite du manga : utiliser les codes archi-connus et parvenir à les modeler d'une autre façon, plus piquante et moins convenue. Car au final, peu importe qu'Hibari soit plus viril sur plusieurs plans que de nombreux personnages masculins (dont les yakuzas) sous ses charmes féminins, peu importe qu'il soit un homme ou une femme. Ces critiques fines disséminées dans le cadre du récit n'empêchent absolument pas le titre d'être un pur divertissement qui régale le lecteur.

Encore une fois, merci aux éditions du Lézard Noir pour un livre-objet aux petits oignons !
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Stop!! Hibari-kun, tome 3

Je ne suis pas très portée sur l’humour et pourtant je me suis régalée avec une série lourdingue comme Stop !! Hibari-kun !! et j’en viens même à regretter qu’elle soit rester inachevée par son auteur. N’est-ce pas preuve de qualité que de réussir à faire aimer à quelqu’un de réfractaire ?



C’est donc sans bouder mon plaisir que je suis retournée à l’univers totalement fou d’Hisashi Eguchi pour ce troisième tome des aventures loufoques de la famille de yakuzas du travesti Hibari. Bien qu’écrit dans les années 80, j’ai eu l’impression de retrouver bien des mécanismes comiques répétitifs de Rumiko Takahashi dans Ranma 1/2 et cela a ajouté au plaisir de cette lecture. Ça et les nombreuses blagues référencées de l’auteur qui se moque comme personne de ses collègues mangaka et de leurs oeuvres, mais aussi de la culture pop en général puisqu’il parodie aussi bien pub, théâtre, cinéma qu’art au sens large. C’est excellent !



Aidé par la traduction vraiment aux petits oignons d’Aurélien Estager, ce fut un plaisir de suivre les bourdes des membres de cette famille déjantés. Même si c’est un peu lourd, c’est toujours drôle ou bien sûr justement parce que c’est lourd et répétitif, c’est drôle ! A vous de choisir. Moi, j’ai adoré continuer à voir Kosaku fuir Hibari qui le poursuit de ses assiduités et bousille toujours ses chances de trouver l’amour ailleurs. C’était amusant aussi de le voir parfois commencer à avoir du désir pour lui sous ses traits de fille. Cette fois, l’auteur ajoute des rivales plus tenaces face à Hibari mais le désir du héros de protéger son secret est toujours le plus fort, ce qui le rend risiblement pathétique au final. Le portrait parfait du héros looser de shonen manga !



Ce dernier tome, bien qu’inachevé, regorge de petites trouvailles savoureuses dans les personnages qui s’ajoute ou la répétition de ceux qu’on connaît. Ainsi le subordonné à la face de fion du père d’Hibari est un running gag très efficace. J’ai adoré découvrir le principal du collège/lycée de nos héros et sa passion pour le bain. Les différents camarades de classe de nos héros ont aussi joliment apporté leur grain de sel, draguant l’un ou l’autre des protagonistes. Même les chamailleries entre « soeurs » furent amusantes même si elles reposaient sur un humour graveleux que certains peut-être n’approuveront pas. Je suis fan de la petite dernière de la fratrie et de son aplomb ! J’ai aussi beaucoup ri avec Sayuri, la fille qui va craquer pour Kosaku, qui semble être le prototype des Shampoo, Géraldine et autres rivales d’Akane dans Ranma, le genre de peste intelligente qu’on adore détester.



Ainsi l’ensemble des histoires de ce tome, en noir et blanc et pourtant en belle bichromie, reposaient encore une fois sur un humour bas de front et sous la ceinture qui m’a désopilée. J’ai adoré le sens du rythme, de la petite vanne et de la chute de l’auteur. Il sait mettre en scène comme peu d’auteur une comédie à l’humour pourtant répétitif mais toujours efficace là où d’autres après lui m’ont lassée. Il faut dire que la petite touche rétro année 80 maintenant et les références aident, ça me rappelle pile poil ce que j’aimais regarder enfant dans certains de mes dessins animés comme L’école fou fou fou, donc forcément ça fonctionne avec moi.



Auteur riche de qualités aussi bien humoristiques que scénographique, je regrette vraiment que nous nous arrêtions là dans la découverte de l’oeuvre d’Hisashi Eguchi, j’aurais aimé continuer à rire des (més)aventures de son héros dans cette maison de fous ! J’aurais aussi aimé découvrir d’autres de ses oeuvres parmi toutes celles parues au Japon dans les années 80-90 avant qu’il se dirige plus vers l’animation et la pub. Éditeurs, si vous me lisez, on aime l’humour simple, cocasse et graveleux de ce genre de comédie romantique décalée rétro, n’hésitez plus !
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Stop!! Hibari-kun, tome 2

Je ne lis pas beaucoup de manga humoristique mais quand c'est le cas, j'aime assez quand ils me rappellent certains animés con con de mon enfance comme Le collège Fou fou fou, ce qui est pleinement le cas ici. Alors même si on enchaîne les chapitres loufoques et souvent débiles, je m'amuse comme une petite folle.



Je sais que le titre est souvent critiqué pour la façon dont l'auteur traite son personnage qui aime se déguiser en fille et être considéré comme telle, mais vu l'année d'écriture + vu les allures comiques du titre, je vois mal ce qu'on peut lui reprocher. Oui, ce personnage est utilisé comme ressort humoristique mais comme je le disais dans le tome 1, toutes les remarques qu'iel se prend, iel les retourne contre les émetteurs pour au final faire ce qu'iel veut et du coup, je ne pense pas que l'auteur pense à mal le/la concernant.



Cet auteur est d'ailleurs bourré d'humour et d'autodérision. Il brise régulièrement le 4e mur dans ce deuxième tome, nous parlant de son hospitalisation parce que mentalement ça n'allait plus. Il se met aussi en scène dans des situations bien ridicules et n'hésite pas à se moquer régulièrement de lui-même aux côtés de son éditeur avec des blagues forts potaches et bas de plafond. Personnellement, ça m'a beaucoup amusée.



Cependant narrativement, il connaît quelques soucis dans cette suite avec souvent des pages surchargées qui alourdissent la lecture et rendent l'humour moins percutant, noyé dans toutes ces cases un brin inutiles parfois... C'est dommage parce qu'autrement il est fort drôle, ce que rend à merveille la traduction aux petits oignons di'Aurélien Estager, qui a dû bien s'amuser à retranscrire tout cela pour faire des blagues compréhensibles par les français. Bravo à lui !



Pour en revenir à l'histoire, on repart avec un enchaînement de chapitres mettant en scène la vie quotidienne souvent barrée de la famille Ozora, entre le père cher de clan qui n'en a pas l'air et ses filles très différentes les uns des autres, dont l'une est un garçon aimant se travestir. L'auteur continue de jouer sur le décalage que cela produit, puisqu'on s'attend à quelque chose de sérieux au vu de leur métier mais que ce n'est pas du tout le cas.



Nous avons donc une suite de chapitre où Hibari met mal à l'aise l'ensemble de sa famille à tour de rôle par ses péripéties. Elle aide tantôt maladroitement ses soeurs, participe à un drôle de cours de natation, est repérée par la star assez masculine du club de volley, participe à une excursion scolaire ou encore rencontre des garçons connus de sa famille avec qui iel est assez ambigu(ë). C'est drôle et potache mais toujours assumé. J'aime le/la voir ridiculiser ces personnages filles et garçons avec son caractère de vrai trublion. 



L'auteur s'amuse en plus à glisser pas mal de références de pop culture. On pense bien sûr directement à L'école Fou fou fou, mais dans certains passages il parodie aussi Lady Oscar, Dr Slump ou Attacker You (Jeanne et Serge) ainsi que les shojo des années 70 et le takarazuka (compagnie de théâtre japonaise composée exclusivement de femmes non mariées). C'est très sympa.



Cependant, c'est un style assez répétitif avec peu d'évolution dans la dynamique de la relation entre Hibari et Kosaku, l'intrus qui vient vivre chez eux et déclenche les débuts de l'histoire. Du coup, une certaine forme de lassitude se fait sentir également peu à peu malgré l'humour des situations et j'ai moins aimé ce tome que le précédent dont il n'avait plus la fraîcheur.
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Stop!! Hibari-kun, tome 1

Malgré les excellents échos que j'ai eu sur le titre et sa traduction, j'avais quelques craintes avant de m'y lancer, car les tranches de vie humoristiques et moi souvent ça fait deux. Sauf qu'ici, j'ai retrouvé l'ambiance bon enfant des shonen des années 80-90 que j'aimais tant comme Maison Ikkoku, Touch ou même Dr Slump, des titres où un humour simple fait toujours mouche sans se montrer répétitif car il touche à un quotidien sublimé par la mise en scène comique de l'auteur.



Comme l'explique la très bonne préface signée Mai Yoshino ouvrant le manga, Stop !! Hibari-kun ! est un titre emblématique des années 80 qui est paru dans le Jump de l'époque, or dans ces années-là, on publiait plutôt des histoire de sports ou aux univers masculins forts et peu voire pas du tout d'histoires romantiques, les romances n'étant qu'un arrière-plan maladroit et lointain dans les titres existants. C'est à partir de la seconde moitié des années 70 avec des auteur comme Rumiko Takahashi (Lamu) et Mitsuru Adachi (Touch) que cela a changé. Eguchi s'inscrit dans ce changement avec son Stop !! Hibari-kun ! qui est à la fois une comédie romantique et une parodie de celles-ci. Le tout est décapant !



Un peu comme dans Le collège Fou fou fou, l'auteur reprend les codes d'un genre désormais bien connu pour mieux les tordre et les sublimer afin que nous-mêmes nous tordions de rire. C'est ainsi que le lecteur se retrouve face à un jeune héros orphelin qui va venir habiter chez un yakuza dont le fils se travestit en fille ! Scènes cocasses et comiques sont au rendez-vous de manière permanente dans cette parodie à la croisée de plein de genres ! L'auteur s'amusant à caricaturer aussi bien les yakuzas, les trans, que les lycéens énamourés. C'est poilant.



L'humour d'Eguchi est le gros atout charme du titre. Il a une façon de pousser le bouchon très loin sans pourtant que ça deviennent lassant, agressif ou malaisant, surtout avec un héros trans. Personnellement, j'ai trouvé au contraire beaucoup d'ouverture et de bienveillance envers ce personnage même s'il y a aussi beaucoup de dérision dans la façon dont est traité son rapport au corps, le sien et celui des autres, et aux apparences, et que l'auteur balance régulièrement des mots comme "dégénéré" ou "pervers", mais moi je les ai justement perçus comme une dénonciation vis-à-vis de ce qui le pensent vraiment et non comme la pensée de l'auteur, contrairement à certains.



Pour le reste, nous sommes dans une comédie lycéenne classique qui alterne entre situations drôles de malaise et quiproquos à la maison et au lycée, le tout souvent reposant soit sur un conflit de génération, soit un décalage entre yakuzas et gens normaux, soit sur la double personnalité homme/femme cachée d'Hibari que tout le monde prend pour une jeune fille. Tout est parfaitement travaillé pour qu'on ne sente pas de répétition d'un chapitre à l'autre, c'est dire l'imagination de l'auteur, et tout repose en même temps sur un quotidien qui nous est proche où il s'amuse juste à pousser un peu certaine situation. C'est très bien mené.



Je me suis donc bidonnée d'un pan à l'autre de ce premier tome, de la rencontre du héros avec cette singulière famille, à son arrivée au lycée, jusqu'à ce qu'il se fasse des amis, rencontre les différents clubs, en choisisse un, et surtout s'habitue, ce qu'il n'a pas encore totalement réussi, au fantasque Hibari. Il y a un air de Collège Fou fou fou dans la description de cette famille de yakuzas et dans le portrait de ses camarades lycéens. Il y a aussi un air de Ranma 1/2 dans sa vie quotidienne au milieu de ces gens totalement fous par rapport à lui qui semble si normal voire banal. Alors forcément, je n'ai pu que me sentir à l'aise.



En plus, la traduction d'Aurélien Estager m'a semblé au poil. Elle est vraiment drôle, fluide, limpide et pourtant pleine de références à la fois française et japonaise quand il n'y avait pas le choix. C'est un beau travail d'adaptation. L'ajout de la préface situant l'oeuvre était top et l'édition dans son ensemble est très bonne, avec la présence de nombreuses pages en couleur ou bichromie sur un épais papier de qualité, ce qui permet de bien mettre en valeur le dessin old school so années 80 d'Eguchi. Personnellement, j'ai adoré retrouvé ces visages bien ronds avec de grands yeux, cette mode typique avec jupettes plissées à la taille, ces grosses têtes plus grandes que le corps comme dans le Collège fou fou fou, ou ces coiffures à couette unique comme Bulma dans les débuts de DragonBall. J'adore aussi cette veine très pop qui en ressort, un peu à la Andy Warhol ou Roy Lichtenstein. Je suis fan de ce style qui me rappelle mon enfance et qui semble couler entre les pages tant il est vivant et entraînant. Ce n'est pas pour rien qu'il est devenu le chef de file de nombre d'illustrateurs ensuite et qu'il est désormais plus illustrateur indépendant que dessinateur de manga.



Alors que j'avais des appréhensions sur mon appétence pour un titre purement humoristique datant des années 80, cette entrée en matière d'Hisashi Eguchi m'a pleinement convaincue ! J'ai adoré suivre la vie sans dessus dessous de ce jeune héros forcé de cohabiter avec une drôle de famille de yakuzas et son fils devenu fille transsexuelle tout aussi loufoque. J'ai retrouvé avec plaisir l'humour des dessins animés de mon enfance avec un schéma loin d'être aussi répétitif que je le craignais mais plutôt efficace grâce au décalage apporté par les nombreuses situations drôlatiques dans lesquelles le héros se retrouve. C'est classique, simple et pourtant terriblement efficace. Merci Le Lézard noir pour cette découverte inattendue !
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Stop!! Hibari-kun, tome 2

Toujours empli d'insultes homophobes.

Et en plus, le personnage est trans...

Comme les personnages proférant les insultes sont soit stupides et/ou voient les certitudes sur eux-mêmes vaciller face à Hibari, elles sont clairement montrées comme mauvaises. Comme pour le volume précédent, on ne rit pas du personnage trans mais des personnages qui ne l'acceptent pas. Il est vrai également, qu'au énième "Espèce de tarlouze", on se dit "Et c'est reparti pour un tour...".

D'ailleurs, le thème et la façon de traiter ce manga commence à montrer ses limites dans ce tome. Il y a toujours les gags absurdes que j'affectionne particulièrement, mais ça commence à devenir dangereusement redondant. Le mangaka amène de nouveaux personnages mais pas vraiment de nouvelles situations. Le seul élément un peu neuf apparaît au début avec le personnage de la super sportive mais elle disparaît rapidement.

Le côté sexuel est réellement présent, au point même que le mangaka écrit qu'il faut se souvenir que c'est un manga pour ados. On a le droit à des "Après l'appel du ventre, c'est l'appel du bas ventre" ou à un personnage qui prend plaisir à être cogné...

L'histoire n'avance pas particulièrement rapidement puisque ce sont des histoires courtes aux scénarios disparates.

Le dessin reste caricatural, avec nombre déformations faciales. Seule Hibari y échappe la plupart du temps, restant globalement sexy tout du long.
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Stop!! Hibari-kun, tome 1

"Pervers", "dégénéré" mais respectée.

Et ça date de 1981 ?! Et c'était dans un magazine pour garçons ?! Autant dire que cette histoire de transsexuelle défie toute attente.

On commence par une mère qui meurt. On est dans un manga, c'est un début des plus classiques. Sauf qu'ici, ce sera un manga humoristique. On a connu plus grande gaudriole pour ce genre... Bref, son garçon est soumis au bons soins d'un de ses anciens amis. Un Yakusa. C'est écrit sur la porte de sa maison. Ce yakusa a 4 enfants. 3 filles et un garçon. Sauf que son garçon se considère comme une fille. Et qu'elle est très mignonne, au point d'être le centre d'intérêt de tous les garçons de son école. Cette Hibari donc tombera de suite amoureuse du nouveau venu qui ne le verra pas de cet œil puisqu'il sait que génétiquement, c'est un garçon.

Hibari se prend des "pervers" et autres "dégénéré" de la part de son père mais le mangaka, en outrant ses réactions, en le montrant complètement déraisonnable, se place du côté d'Hibari. Le plus grand respect lui est accordé alors qu'on ne peut pas en dire autant sur les autres personnages. Ici, pas de gags faciles se moquant de la transsexualité. Oui, il y a des situations humoristiques issues du thème, mais jamais on ne s'en moque.

L'humour est souvent burlesque, avec le mangaka faisant des commentaires et apparaissant dans les planches, des personnages à la ramasse et des histoires d'amour mal barrées.

Le dessin est très 80's, celui de la couverture est assez trompeur même si Hibari est toujours joliment dessinée.

J'ai beaucoup aimé, j'ai beaucoup ri.
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Stop!! Hibari-kun, tome 1

Après le décès de sa mère, le jeune Kosaku Sakamoto quitte sa campagne natale pour Tokyo. Il est pris en charge par un ami de jeunesse de la défunte, Ozora. Cependant le jeune homme se rend vite compte qu'il s'agit d'un chef yakusa. Il est sur le point de rentrer dans sa campagne quand il fait la connaissance des jolies filles d'Ozora et tombe amoureux d'Hibari. Cependant, noivelle déconvenue, cette dernière n'est autre que le fils héritier du clan.



Un premier volume plein d'humour(très japonais) complètement wtf. Je ne savais pas qu'il s'agissait d'une série arut dans les années 80 et graphiquement, ça se ressent. Rien à voir avec la couverture. Même remaraue pour le contenu avec certains dialogues et certaines blagues qui aujourd'hui pourraient être considérées comme du racisme et de l'intolérence.



C'est drôle, certe, mais je m'interroge quand même sur certains passages qui du coup m'ont dérangé.



Je lirai cependant la suite.
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Stop!! Hibari-kun, tome 3

Ce dernier pavé reste très emballant et amuse beaucoup, à la fois grâce au travail du mangaka et à celui, énorme, du traducteur Aurélien Estager (qui arrive même à faire sourire avec une référence intraduisible grâce à une belle pirouette).
Lien : https://www.manga-news.com/i..
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