Oui, mon cousin, vous avez bien jugé de mon esprit et de mes manières : je n’ai sans doute rien du monde, je n’en connais ni les calculs ni les mœurs, et ne saurais vous y donner les plaisirs que vous voulez y trouver. Soyez heureux, selon les conventions sociales auxquelles vous sacrifiez nos premières amours. Pour rendre votre bonheur complet, je ne puis donc plus vous offrir que l’honneur de votre père.