Cette peinture patiente, ces empreintes sur la vie privée des habitudes, du silence, des signes, ce poids donné à l’impalpable qui pèse sur chaque vie, et soudain, la panique des signes, le désarroi dans la fourmilière, c’est la signature de Balzac, son art de conteur, mis en scène et dramatisé magistralement pour la première fois. P. V de la préface de Maurice Bardèche.