Octave, je t’aime, mais autrement que tu veux être aimé : j’aime ton âme… Mais, sache-le, je t’aime assez pour mourir à ton service, comme une esclave d’Orient, et sans regret. Ce sera mon expiation. » Elle a fait plus, elle s’est mise à genoux sur un coussin, devant moi, et, dans un accès de charité sublime, m’a dit : — « Après tout, peut-être ne mourrai-je pas ?…