Un mari quelconque étant abattu, il reste à se débarrasser du tube et de la douille à distance respectueuse du cadavre. Méfiez-vous des terrains secs, des arbres caverneux qui finissent dans les scieries, des pièces d’eau que l’on sonde ou que l’on assèche. L’idéal, c’est le marécage, à défaut de sables mouvants...