Ma jeune fille rêveuse prenait de l’âge tout d’un coup, me donnait des leçons de baiser, me faisait de ces choses que Frédéric Dard appelle, dans sa langue verte, la ventouse pigeonnante ou la sucette créole. Je me surprenais moi-même à caresser les seins que j’avais déjà vus étant à ski. Des seins admirables. Ni poire blette, ni pomme rondouillarde. Des seins sui generis quoi !