Je suis resté un moment comme ça, près de lui, en apesanteur. J'ai compris que mon nouveau rôle, c'était ça, l'aider "à monter", à traverser sa peur de mourir, à prendre de la hauteur. Fini le discours de guerre contre la maladie. Ce combat_là était perdu d'avance. Le seul défi, désormais, c'était qu'il fasse la paix avec lui-même. Qu'il parte soulagé.